LE BANDANA ROUGE

Couverture de fort grammage, illustrée par une œuvre de Virginie Guidée

7 € TTCQuantité limitée

AuteurMichèle Malaval
Nb pages104
Format23,5 × 14,5 cm
ISBN978-2-492283-21-5

Michèle Malaval se jette à l’eau !

Quand une photographe s’implique dans l’écriture cela reste très visuel, très précis et, en même temps, riche de sentiments.


ON EN PARLE 

Ubik-Art : Bonjour Michèle Malaval ou, plutôt, devrais-je vous appeler MiMa ?

Michèle Malaval : Non, c’est bien de laisser à chacune son indépendance. MiMa a beaucoup photographié et peu écrit. Michèle Malaval, elle, commence son entrée en écriture et le « bandana rouge » est une première.

UA : Donc, Michèle Malaval, qui êtes vous ?

MM : Je suis née à Montpellier, où j’ai exercé divers métiers, le plus souvent dans les relations humaines. J’ai fait de nombreux voyages mais, toujours, je suis revenue dans ma ville natale, mon port d’attache.

Depuis toujours la photo m’a passionnée, d’ailleurs, à une époque, je les développais moi-même.  Ces quinze dernières années, je me suis consacrée à la création d’images en tant que photo plasticienne. C’est pour cette activité que j’ai pris le pseudo de MiMa.

UA : Dans ce domaine vos créations s’inspirent de la réalité environnante, des scènes urbaines ou de la nature, transformées par un regard teinté de poésie. L’écriture a-t-elle suivie le même chemin et pourquoi écrire ?

MM : L’envie d’écriture, tapie au fond de moi, s’est amplifiée au cours de la période du premier confinement. Ma participation aux cahiers « Virtuel-écriture », nés dans cette situation, a été déterminante avec mes premières publications de textes. Comme pour la photo mon écriture s’inscrit dans la réalité et ma rédaction, mêlant souvenirs, observations et fiction, se veut concrète. Je n’aime pas les textes trop denses, je souhaite m’exprimer de manière concise, aérée et esthétique. Pour moi la forme compte autant que le fond. Un texte doit, aussi, offrir un équilibre visuel. Dans un livre avant d’être intéressée par le texte je suis, tout d’abord, sensible à la forme, à la présentation, au papier, à son toucher.

UA : Merci Michèle pour vos explications. Nous sommes certains que vos futurs lecteurs auront à cœur de découvrir vos personnages, attachants, et retrouver des cadres, des lieux, qui ne leurs seront pas étrangers.

Nous pourrons aller à la rencontre de Richard, Manon, et les autres dans « le bandana rouge », votre roman, disponible sur le site d’ubik-art-éditions et à la galerie Marc Devaux.