SPASP, par lui-même :
S soupe au lait
P pulvérisant
A aréole posée sur éminence de forme arrondie
S sexe-mania…
P pervers n’est pas Pauvert et non plus un mage
S sans toi le soir
P point de piquant mais à quel point?
A apeuré je n’ose t’approcher.
S source de gelée, me feras tu la bonté de flétrir mes piquants?
P pourquoi n’ai-je pas parlé de sexe?
S santé de fer.
P pétillant de vie.
A ambre solaire je n’en n’ai pas besoin.
S sucette tu me fais la nique.
P palourde mon mollusque bivalve je te gouterais bien.
S salamandre noire et tachée de jaune et d’humeur très corrosive.
P piano tu m’as chanté mes rêves.
A ampère tu m’as électrifié dans te mesures de potentiel magnétique.
S sauce forte de mes piments exotiques.
P p, seizième lettre de l’alphabet tu pérores avec emphase.
Et vu par Marc Ely :
SPASP
S ingulièrement
Patrick
A
Surtout
Peint
Souvent
P hotographié
Aussi
Sans
Prévention
Surprise
Pour
A vancer
Se pliera
Page à page
Se soumettra
Pour paraître
Aux règles
S éculaires
Paradoxe
S’affirmera
Publiquement
Auteur
Sérieux
P ublié
Soyez Prêts Applaudissez Saluez Plébiscitez
Aphrodite, Lamaï et Verkoff l’enjôleur
Dans ce premier recueil de nouvelles, spasp, peintre à l’imagination fertile, nous décrit avec ses mots et ses couleurs une suite de péripéties débridées et de voyages interspatiaux enchevêtrés entre la chaude et humide Asie et son atelier lodévois noyé dans une verdoyante nature. Il y poursuit sa quête de la figure féminine mystérieuse et sensuelle auprès de laquelle il trouvera un repos mér voir la suite...