Après des études d’anglais à l’Université Paul Valéry de Montpellier où j’ai eu comme professeur de littérature anglo-américaine le poète Jean Joubert, j’ai enseigné le français quelque temps en Angleterre. Une vie plus tard, après avoir écrit et organisé des Fetapepa, collé encore des mots puis des images, je suis devenue en 2015 monitrice bénévole de gymnastique fondamentale au parc Rimbaud. Depuis mars 2018 je poste un texte (parfois un collage) le lundi dans ARTS POESIES PEINTURES Montpellier, sur Facebook, et j’écris depuis le premier numéro (mars 2020) dans la revue culturelle VIRTUEL – écriture/SC, où certains collages ont également été publiés… Le 23 octobre 2021 j’ai reçu une mention spéciale des « Jeux floraux méditerranéens / Poètes sans frontières » pour mon recueil De l’amour des mots, des maux. Six de ces textes ont été référencés à l’Université de Stanford par l’ONG internationale « 100 Thousand Poets for change ». Sachant que j’ai commencé, dès les années 90, à déchirer des images pour les coller sur des feuilles, du papier à dessin et du carton, puis sur toutes les portes de la maison et n’importe quel support en bois, j’ai eu le très grand plaisir d’exposer une quinzaine de collages (sur bois et sur papier) le 4 juin 2022 au 1er Salon des Livres et des Arts de Claret (34270).

A chacune de ses publications Lapepa se livre, chaque fois, davantage. Avec ses treize nouvelles, elle entrouvre un peu plus sa porte. Certes, nous sommes toujours bien loin d’une opération “portes ouvertes”, mais a-t-on envie, a-t-on besoin, d’aller plus loin ?

Ce qu’elle ne nous dit pas dans ses textes elle nous l’offre dans ses collages, à nous de comprendre, de voir.

Lapepa nous confirme, aussi et toujours, sa “nécessité d’écrire”, aidons là à poursuivre en la... lisant !

IL N’ÉTAIT PAS UNE FOIS… MAIS TREIZE !

Frêle créature étrange au regard sombre, caressé par de longs cils noirs papillonnant en fines pattes d’araignées depuis le jour où dans son enfance des pétales de fleurs rares avaient pansé son cœur brûlé, elle avait coutume d’inventer et de les raconter des histoires abracadabrantes puis d’en noter quelques épisodes dans son cahier de souvenirs à ne pas oublier... Lapepa YOBASIl n’&eacut voir la suite...

SOUS VOS YEUX…

Je me promène Dans les nuages nacrés Sourde au bruit du vent… Nuages angora Pluie d’oiseaux bleus nuit Aux larmes argentées... Lapepa écrit, Lapepa colle, elle a des choses à dire, des choses à nous montrer. Lapepa s’insurge, rebelle ! Elle arrache des mots aux maux, elle découpe des images et en construit ses univers. Lapepa est jeune, sa jeunesse s’inscrit dans la sagesse des siècles.  Est-elle une sorcière bl voir la suite...

D’UNE DECHIRURE A L’AUTRE

Lapepa Yobas aime les mots… Elle les aime vivants, joueurs, et tant pis – ou tant mieux – si parfois ils sont porteurs de maux. Elles les souhaite rebelles et surtout libres… J’ai éteint la lumière Voulant m’enfermer dans le noir Mais une lueur vive et joyeuse A traversé les persiennes Faisant danser les mots Dans ma tête chahutée Poésie transgression Désir violent Naissant voir la suite...

DE L’AMOUR DES MOTS, DES MAUX

Lapepa et son goût pour l’écriture sont nés en même temps. Elle a « sucé l’encre du stylo » en guise de lait. Cela se vérifie au fil des pages. ON EN PARLE De l’amour des mots, des maux, recueil de poèmes, par Lapepa Yobas. Ubik-Art : Lapepa, voici un prénom qui fleure bon l’Espagne ! Lapepa Yobas : Née à Montpellier, mais Piscénoise de c&oeli voir la suite...